Le procureur-adjoint de la Cour pénale internationale s'est dit "déçu"
auourd'hui que l'Afrique du Sud n'ait pas arrêté le président soudanais
Omar el-Béchir, accusé de génocide, alors qu'il participait à un sommet
de l'Union africaine à Johannesburg.
"Nous sommes déçus qu'il n'ait pas été interpellé", a déclaré James
Stewart, adjoint de la procureure Fatou Bensouda : "Notre position a
toujours été que l'obligation incombant à l'Afrique du Sud est claire,
elle devait l'arrêter".
LeFigaro.fr
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