Tous les 5 candidats engagés dans la présidentielle 2015 devraient faire, malgré eux ce 20 avril, un crochet à Lomé. Ils devront y rencontrer le président en exercice de la CEDEAO, le Ghanéen John Mahama Dramani.
Pour l’heure, aucun emploi du temps de ce séjour présidentiel n’est disponible auprès des états-majors des partis engagés dans la présidentielle 2015. Cependant, tous s’accordent sur un point : le chef de l’exécutif ghanéen devra faire le point du processus d’organisation de ce scrutin avec toutes les parties qui y sont impliquées.
John Dramani, au nom de la CEDEAO, avait proposé et obtenu des politiques togolais un report in extremis de la tenue de la présidentielle au Togo, du 15 au 25 avril 2015. C’était au terme d’un séjour express qu’il avait effectué à Lomé, le 24 mars dernier.
Durant cette opération diplomatique de médiation, le numéro un ghanéen avait aussi bien échangé avec le Président sortant, Faure Gnassingbé, que tous ses 4 concurrents. John Dramani avait également fait le point du processus électoral avec les premiers responsables de la CENI.
Le 24 mars dernier, plusieurs différends opposaient encore les candidats à la présidentielle du 25 avril autour du fichier électoral. Ces divergences ont été levées grâce à un appui d’experts électoraux de la Francophonie, appui qui a permis aux écuries politiques en course pour la joute électorale du 25 avril de s’accorder autour «d’un fichier non fiable mais consensuel». Le format du bulletin unique de vote et ainsi que le procédé de centralisation des résultats issus des urnes continuent de diviser les uns et les autres, en coulisses.
Le Togo vit au rythme d’une campagne électorale depuis le 10 avril dernier. Cette phase décisive du processus électoral togolais se déroule grosso modo dans une ambiance bonne enfant, avec une présence et une attention remarquée des 5 candidats accordée à la partie septentrionale du pays.
Pour l’heure, l’agression dont a été victime par un militant du CAP 2015 (Koffi Djiwanou) et le refus du quotidien national (Togo-Presse) de diffuser un message de campagne du candidat Fabre constituent les deux points noirs de cette campagne.
Edem GADEGBEKU
Durant cette opération diplomatique de médiation, le numéro un ghanéen avait aussi bien échangé avec le Président sortant, Faure Gnassingbé, que tous ses 4 concurrents. John Dramani avait également fait le point du processus électoral avec les premiers responsables de la CENI.
Le 24 mars dernier, plusieurs différends opposaient encore les candidats à la présidentielle du 25 avril autour du fichier électoral. Ces divergences ont été levées grâce à un appui d’experts électoraux de la Francophonie, appui qui a permis aux écuries politiques en course pour la joute électorale du 25 avril de s’accorder autour «d’un fichier non fiable mais consensuel». Le format du bulletin unique de vote et ainsi que le procédé de centralisation des résultats issus des urnes continuent de diviser les uns et les autres, en coulisses.
Le Togo vit au rythme d’une campagne électorale depuis le 10 avril dernier. Cette phase décisive du processus électoral togolais se déroule grosso modo dans une ambiance bonne enfant, avec une présence et une attention remarquée des 5 candidats accordée à la partie septentrionale du pays.
Pour l’heure, l’agression dont a été victime par un militant du CAP 2015 (Koffi Djiwanou) et le refus du quotidien national (Togo-Presse) de diffuser un message de campagne du candidat Fabre constituent les deux points noirs de cette campagne.
Edem GADEGBEKU
togosite.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire