vendredi 1 mai 2015

RDC : Les abus de la famille « KABILA » à Kisangani

L’oncle de la «première dame» de la RDC a réquisitionné les militaires rwandais de la Garde Républicaine à Kisangani et il a procédé à l’annexion arbitraire de la moitié de la parcelle voisine appartenant à monsieur Jeannot ANGONGOLO TOSOMBA, parcelle sise aunuméro 5 de l’avenue Musibasibadans la commune de Makiso. Comme le propriétaire est absent de la ville, et devant cet acte avéré de spoliation et de vandalisme, les membres de la famille de la victime, croyant qu’ils vivaient dans un Etat de droit, sont allés alerter les autorités compétentes de la ville dont notamment le Commissaire provinciale de la Police dont les bureaux se trouvent juste à côté de la parcelle de la victime, entendez monsieur Jeannot ANGONGOLO. Et c’est alors qu’ils découvriront, à leur dépens, qu’ils vivaient plutôt dans la jungle d’un pays occupé par des esclavagistes impitoyables et des nazis de la pire espèce que le monde n’ait jamais connu. La Police et la Justice qui devaient leur apporter protection et assurer leur droit de propriété se sont plutôt acharnées contre les quatre membres de la famille plaignante et les a jetés manu militari en prison. Sans autres formes de procès !
Les patriotes congolais au sein des fonctionnaires de la Justice et des magistrats à Kisangani, scandalisés et révoltés, viennent d’alerter la rédaction de L’œil du Patriote sur des actes de terreur et de vandalisme dont se distinguemonsieur Nestor KASEMBE, frère cadet de la mère de celle qu’on appelle en RD-Congo la «première dame», entendezOlive LEMBE, épouse de l’imposteur rwandais«Joseph KABILA»alias Hyppolite Kanambe.
Depuis une semaine en effet, l’oncle de la «première dame» de la RD-Congo a réquisitionné les militaires rwandais de la Garde Républicaine à Kisangani et il a procédé à l’annexion arbitraire de la moitié de la parcelle voisine appartenant à monsieurJeannot ANGONGOLO TOSOMBA, parcelle sise aunuméro 5 de l’avenue Musibasibadans la commune de Makiso. Comme le propriétaire est absent de la ville, et devant cet acte avéré de spoliation et de vandalisme, les membres de la famille de la victime, croyant qu’ils vivaient dans un Etat de droit, sont allés alerter les autorités compétentes de la ville dont notamment le Commissaire provinciale de la Police dont les bureaux se trouvent juste à côté de la parcelle de la victime, entendez monsieur Jeannot ANGONGOLO. Et c’est alors qu’ils découvriront, à leur dépens, qu’ils vivaient plutôt dans la jungle d’un pays occupé par des esclavagistes impitoyables et des nazis de la pire espèce que le monde n’ait jamais connu. La Police et la Justice qui devaient leur apporter protection et assurer leur droit de propriété se sont plutôt acharnées contre les quatre membres de la famille plaignante et les a jetés manu militari en prison. Sans autres formes de procès !
Les fonctionnaires congolais des services judiciaires de Kisangani ont été atterrés et scandalisés de voir ainsiValentin ANGONGOLO,Charlie ANGONGOLOainsi que leurs deux autres membres de famille jetés dans la prison centrale de Kisangani comme des vulgaires malfrats, tout simplement parce qu’ils ont osé réclamer une portion de leur terre ravie illégalement et par la force! Ils ont donc décidé, avec d’autres congolais témoins du scandale, d’alerter la Résistance congolaise par le canal de L’œil du Patriote, surtout à cause du danger que courent actuellement les quatre membres de la famille ANGONGOLO. Et ceci à cause du traitement que subissent ces infortunés en prison, sur ordre de l’oncle d’Olive LEMBE. En effet, non seulement ces malheureux sont privés de toute liberté, mais ils n’ont pas le droit de recevoir de la nourriture de leur famille et ils subissent chaque jour des séances de torture de la part de leurs tortionnaires qui veulent les forcer à renoncer à toute réclamation de leur parcelle spoliée. Le premier Substitut du procureur de la République, monsieur NGOY, a plutôt reçu l’ordre formel de la «Hiérarchie» de maintenir coûte que coûte les quatre prisonniers «hors d’état de nuire». Autrement dit, ni la presse locale, ni les ONG ne doivent entrer en contact avec eux. Les infortunés sont donc ainsi, selon le mode opératoire de la kabilie, entrés dans le couloir de la mort pour avoir osé réclamer ce qui leur appartenait de plein droit.
L’œil du Patriote lance donc un appel pressant à la Croix rouge et aux ONG de défense des droits de l’Homme opérant dans la ville de Kisangani etles invite à prendre toutes les dispositions urgentes pour sortir les quatre membres de la famille ANGONGOLO des griffes de la mort. Il appelle les jeunes patriotes congolais de la ville de Kisangani à se mobiliser pour réclamer la libération sans conditions des quatre infortunés et la restitution sans délai de la parcelle appartenant à monsieur Jeannot ANGONGOLO. Ce qui arrive à cette famille n’est malheureusement pas une première dans la RDC occupée et plus aucun congolais n’est à l’abri de ce type de pratique. Car leur cas n’est qu’une illustration de cette politique de spoliation de nos terres que pratiquent les envahisseurs et occupants tutsi-rwandais aidés de leurs valets de services, et dont l’objectif final est la mise à mort de l’Etat congolais ainsi que la disparition de son peuple.
Paris, le 21 avril 2015
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE

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