mardi 26 mai 2015

Côte-d’Ivoire La Haye – Simone Gbagbo saura demain si elle rejoindra son époux devant CPI

L’actuel président ivoirien Alassane ‪Ouattara‬ a à diverses occasions clairement affiché sa « fermeté » sur la question du transfèrement de madame Gbagbo dans la prison de Scheveningen en banlieue de La Haye au Pays-Bas: «Personne n’ira à la CPI. Nous les jugerons tous ici. Nous voulons montrer que nous sommes un pays moderne, un pays de droit et de justice ».
En effet, à l’issue de l’audience programmée pour ce mercredi 27 mai, la Chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI) rendra son arrêt sur la recevabilité de l’affaire à l’encontre de Simone Gbagbo.
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Côte-d’Ivoire La Haye – Simone Gbagbo saura demain si elle rejoindra son époux devant CPI
Mis en ligne par La Rédaction | mardi 26 mai 2015
Simone
L’actuel président ivoirien Alassane ‪Ouattara‬ a à diverses occasions clairement affiché sa « fermeté » sur la question du transfèrement de madame Gbagbo dans la prison de Scheveningen en banlieue de La Haye au Pays-Bas: «Personne n’ira à la CPI. Nous les jugerons tous ici. Nous voulons montrer que nous sommes un pays moderne, un pays de droit et de justice ».
En effet, à l’issue de l’audience programmée pour ce mercredi 27 mai, la Chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI) rendra son arrêt sur la recevabilité de l’affaire à l’encontre de Simone Gbagbo.
Déroulement de la procédure
«Le 30 septembre 2013, la Côte d’Ivoire a soulevé une exception d’irrecevabilité concernant l’affaire Simone Gbagbo. Le 11 décembre 2014, la Chambre préliminaire I a rejeté cette exception d’irrecevabilité et a rappelé à la Côte d’Ivoire son obligation de remettre sans délai Simone Gbagbo à la Cour. Le 17 décembre 2014, la République de Côte d’Ivoire a fait appel contre cette décision de la Chambre préliminaire I.»
Accusations
Simone Gbagbo est suspectée de quatre chefs de crimes contre l’humanité (meurtres, viols et autres formes de violences sexuelles, actes de persécution, et autres actes inhumains) qui auraient été commis entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011 dans le contexte des violences post-électorales en Côte d’Ivoire.

HC

connectionivoirienne.neta

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