La classe politique gabonaise, autour du chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba, est en concertation lundi à Libreville pour discuter des questions des futures élections législatives prévues pour décembre 2011.
Certains pensent qu’il faut introduire la biométrie dans le système électoral gabonais dont l’enveloppe coûtera 54 milliards de francs CFA (118 millions de dollars).
Les autres suggèrent que le scrutin soit repoussé après la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN 2012) qui se déroulera entre janvier et février prochain. Cela permettra de gérer le contentieux électoral sans gâcher la plus grande fête sportive du continent, soutiennent les partisans du report.
La première rencontre des forces vives de la nation avait eu lieu le 28 avril dernier. (Xinhua)
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