«Tous les présidents invités se sont engagés soit à être là, soit à envoyer un représentant habilité à signer (l’accord)», a ajouté le porte-parole. Les discussions avaient achoppé fin janvier sur la nature de la direction d’une nouvelle force militaire régionale.
500.000 personnes déplacées
Cette unité d’intervention, composée de quelques milliers de soldats, doit pouvoir barrer la route aux rebelles du M23 et les empêcher de gagner du terrain en les désarmant. Elle serait intégrée dans l’actuelle mission de l’Onu de stabilisation en RDC, la Monusco, qui s’est révélée incapable en novembre d’empêcher une offensive rebelle sur la ville de Goma, dans l’est de la RDC.Mais l’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Mozambique, qui fourniraient la majeure partie des effectifs de la nouvelle brigade, estiment que celle-ci devrait bénéficier de sa propre autonomie de commandement, dit-on de sources diplomatiques. Lire la suite sur 20minutes.fr
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