Les sondages politiques au Cameroun prônent Calixthe Beyala à la tête d’une liste des personnes les mieux placer pour diriger le Cameroun de demain, encore appelé « l’après Biya » ; pourtant elle ne s’y intéresse même pas ! Elle a toujours pris position pour défendre l’Afrique, et à mis sa vivacité ou son sang mouvementé (comme on sait qualifie les Etons) aux services de la cause africaine. Et de par sa sagesse (aussi attribut des Bamilékés) elle a su réunir tous les Africain-Français vers une vision commune de prospérité. Bamiléké, Bétis elle s’est toujours efforcée de respecter les valeurs qui se sont unies pour lui donner vie, sans jamais oublier toute la diversité culturelle dont regorge le Cameroun.
Les sondages politiques au Cameroun prônent Calixthe Beyala à la tête d’une liste des personnes les mieux placer pour diriger le Cameroun de demain, encore appelé « l’après Biya » ; pourtant elle ne s’y intéresse même pas !
Une Eton mais qui ne s’étonne pas de tout ce qui se passe dans le monde, une Bamiléké qui est contre le système capitaliste.
Elle a toujours pris position pour défendre l’Afrique, et à mis sa vivacité ou son sang mouvementé (comme on sait qualifie les Etons) aux services de la cause africaine. Et de par sa sagesse (aussi attribut des Bamilékés) elle a su réunir tous les Africain-Français vers une vision commune de prospérité. Bamiléké, Bétis elle s’est toujours efforcée de respecter les valeurs qui se sont unies pour lui donner vie, sans jamais oublier toute la diversité culturelle dont regorge le Cameroun.
Partie, entre 17 et 20 ans du Cameroun pour la France, issue d’un mélange de cultures qui l’a vue naitre, Calixthe s’est battue comme tout immigré et à su se faire une place dans le monde de la littérature.
Son amour pour la nation Française et Camerounaise lui donne l’énergie et la force dont au quotidien elle a besoin, pour se battre pour le respect des droits universels de l’Homme, et absolument pas pour la démocratie, version occidentale. Militante déchainée pour les droits de l’Homme, elle se bat pour que les politiques respectent la devise, fondement de la belle France qui appelle à l’égalité, à la liberté et surtout à la fraternité ; devise malheureusement respectée trop souvent uniquement en fonction de certaines personnes.
Calixthe Beyala est une femme publique, qui ne se considère pas comme femme de privilège, et ouvre ses portes à tous ses frères et sœurs, désirant réfléchir avec eux à une belle Afrique de demain. Elle anime sa page Facebook régulièrement, sur laquelle elle lance et participe à des débats en octroyant la liberté à chacun de pouvoir s’exprimer, dans le respect de tous les commentaires afin que personne ne se sente bafoué par des injures ou des menaces.
La récente visite du chef de l’état S.E Paul Biya a été beaucoup commentée et la polémique s’est vite installée. Celle-ci a pris le dessus des médias internet au lendemain de la réception de Camerounais résidant en France, réception donnée par S.E Paul Biya, à laquelle Calixthe était invitée.
Les internautes lui reprochaient d’avoir été à la réception de l’homme qui ne respecte pas la démocratie au Cameroun, selon eux, se sentant trahis par Calixthe qui prône la démocratie.
Ces propos personnellement m’interrogent : a-t-elle déjà parlé de démocratie dans son militantisme pour défendre les droits africains ? Ces internautes oublient-ils que jusqu'à preuve du contraire, Paul Biya est encore président au Cameroun ? Le linge sale ne se lave-t-il pas en famille ? Contrairement à d’autres militants qui envoient des lettres à Hollande ou à Obama, pour leur demander de les libérer du dictateur, en oubliant qu’ils vendent, par là même, leur pays aux loups alors que Calixthe se bat pour stopper la France-Afrique. Cette France-Afrique, fléau qui nuit amplement aux peuples africains. Ce n’est pas en écrivant ou en protestant à l’étranger que la condition de vie des Camerounais changera ; mais c’est en s’unissant dans une mûre réflexion (qui n’a rien à voir avec le tribalisme ni avec le pouvoir à n’importe quel prix), que l’on réussira le combat actuel : celui d’alléger la souffrance des Camerounais, voire des Africains. Calixthe a toujours refusé de s’associer aux diverses idées qu’elle jugeait, auraient pu nuire au développement ou à la tranquillité des camerounais.
A travers le MAF (Mouvement des Africain-Français) Calixthe Beyala veut ouvrir les portes de l’entraide solidaire, de la prise de conscience collective pour que la responsabilité de chacun prône l’être avant toute chose !
Titre original :
Bamiléké + Bétis = Calixthe Beyala
Le Titre et de Icicemac.com
Copyright © Tagne Foko Michel, Yaounde - Cameroun | 31-03-2013
Une Eton mais qui ne s’étonne pas de tout ce qui se passe dans le monde, une Bamiléké qui est contre le système capitaliste.
Elle a toujours pris position pour défendre l’Afrique, et à mis sa vivacité ou son sang mouvementé (comme on sait qualifie les Etons) aux services de la cause africaine. Et de par sa sagesse (aussi attribut des Bamilékés) elle a su réunir tous les Africain-Français vers une vision commune de prospérité. Bamiléké, Bétis elle s’est toujours efforcée de respecter les valeurs qui se sont unies pour lui donner vie, sans jamais oublier toute la diversité culturelle dont regorge le Cameroun.
Partie, entre 17 et 20 ans du Cameroun pour la France, issue d’un mélange de cultures qui l’a vue naitre, Calixthe s’est battue comme tout immigré et à su se faire une place dans le monde de la littérature.
Son amour pour la nation Française et Camerounaise lui donne l’énergie et la force dont au quotidien elle a besoin, pour se battre pour le respect des droits universels de l’Homme, et absolument pas pour la démocratie, version occidentale. Militante déchainée pour les droits de l’Homme, elle se bat pour que les politiques respectent la devise, fondement de la belle France qui appelle à l’égalité, à la liberté et surtout à la fraternité ; devise malheureusement respectée trop souvent uniquement en fonction de certaines personnes.
Calixthe Beyala est une femme publique, qui ne se considère pas comme femme de privilège, et ouvre ses portes à tous ses frères et sœurs, désirant réfléchir avec eux à une belle Afrique de demain. Elle anime sa page Facebook régulièrement, sur laquelle elle lance et participe à des débats en octroyant la liberté à chacun de pouvoir s’exprimer, dans le respect de tous les commentaires afin que personne ne se sente bafoué par des injures ou des menaces.
La récente visite du chef de l’état S.E Paul Biya a été beaucoup commentée et la polémique s’est vite installée. Celle-ci a pris le dessus des médias internet au lendemain de la réception de Camerounais résidant en France, réception donnée par S.E Paul Biya, à laquelle Calixthe était invitée.
Les internautes lui reprochaient d’avoir été à la réception de l’homme qui ne respecte pas la démocratie au Cameroun, selon eux, se sentant trahis par Calixthe qui prône la démocratie.
Ces propos personnellement m’interrogent : a-t-elle déjà parlé de démocratie dans son militantisme pour défendre les droits africains ? Ces internautes oublient-ils que jusqu'à preuve du contraire, Paul Biya est encore président au Cameroun ? Le linge sale ne se lave-t-il pas en famille ? Contrairement à d’autres militants qui envoient des lettres à Hollande ou à Obama, pour leur demander de les libérer du dictateur, en oubliant qu’ils vendent, par là même, leur pays aux loups alors que Calixthe se bat pour stopper la France-Afrique. Cette France-Afrique, fléau qui nuit amplement aux peuples africains. Ce n’est pas en écrivant ou en protestant à l’étranger que la condition de vie des Camerounais changera ; mais c’est en s’unissant dans une mûre réflexion (qui n’a rien à voir avec le tribalisme ni avec le pouvoir à n’importe quel prix), que l’on réussira le combat actuel : celui d’alléger la souffrance des Camerounais, voire des Africains. Calixthe a toujours refusé de s’associer aux diverses idées qu’elle jugeait, auraient pu nuire au développement ou à la tranquillité des camerounais.
A travers le MAF (Mouvement des Africain-Français) Calixthe Beyala veut ouvrir les portes de l’entraide solidaire, de la prise de conscience collective pour que la responsabilité de chacun prône l’être avant toute chose !
Titre original :
Bamiléké + Bétis = Calixthe Beyala
Le Titre et de Icicemac.com
Copyright © Tagne Foko Michel, Yaounde - Cameroun | 31-03-2013
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