jeudi 2 septembre 2010

Prix International UNESCO-OBIANG NGUEMA MBASOGO pour la recherche en sciences de la vie: une fierté pour l’Afrique

(La dépèche diplomatique 02/09/2010)
Tous les Africains doivent se réjouir de la décision du Président OBIANG-NGUEMA MBASOGO de parrainer le Prix International UNESCO-OBIANG NGUEMA MBASOGO pour la recherche en sciences de la vie. Parce qu’il s’agit d’un geste à la fois symbolique et très fort qui honore tout l’Afrique.
Notre continent, en effet, a toutes les raisons de contribuer, à chaque fois qu’il le peut, au développement de la science. Puisque son émancipation, sur tous les plans, en dépend.
L’universalité de la science convoque tous les peuples à participer à son essor lequel passe nécessairement par la recherche fondamentale, celle qui permet de découvrir la « vérité scientifique » et qui ouvre les portes à d’éventuelles applications technologiques, médicales ou autres.
Il faut donc magnifier toute action qui permet aux savants de travailler sérieusement pour espérer trouver.
Car le temps de la recherche n’est pas celui d’une course de vitesse. Il exige rigueur, disponibilité et patience, toutes choses aux antipodes de l’activisme creux. Financer la recherche fondamentale c’est assurément faire le pari de l’avenir de l’homme dans le cas des sciences de la vie.
Ce n’est donc pas viser un gain politique immédiat. D’où la générosité lucide du président OBIANG qui mérite d’être mise en exergue.
On le voit donc, les détracteurs l’ont tout faux. Du reste leur réaction tardive après 3 ans est un aveu. Ils sont gênés aux entournures car ni le Prix ni son objet ne sont attaquables.
Alors ils font haro sur le parrain accusé de tous les maux.
Mais nul n’est dupe car c’est bien l’échec cuisant enregistré auprès des tribunaux français qui les a poussés à revenir à la charge. En comptant sur la faiblesse de la nouvelle directrice générale de l’UNESCO. Celle-ci doit savoir cependant que l’UNESCO est régie par une Charte et des règlements.
L’attribution du Prix ne peut plus souffrir de délai ; n’en déplaisent aux racistes tapis dans l’ombre des ONG.
Le Président OBIANG à un bilan élogieux et son pays a fait des progrès d’une ampleur unique sur le continent africain.
La Guinée Equatoriale est un pays en marche où des infrastructures gigantesques sont réalisées, où l’immobilier est dans un boom impressionnant, et où des sommes colossales sont investies dans l’Education, la Santé, le social en général et aussi la recherche fondamentale. Les choix du Président OBIANG sont assurément pertinents et sont en train de propulser son pays sur la voie de l’émergence économique.
D’ores et déjà, son leadership sous-régional s’est consolidé et son action sur le plan continental appréciée.
Tout en cultivant une discrétion remarquable, le leader équato-guinéen utilise à bon escient la manne financière dont son peuple bénéficie.
On peut citer, entre autres, l’aide apportée à la fondation du Président Mandela et la contribution au Prix International UNESCO-OBIANG NGUEMA MBASOGO pour la recherche en sciences de la vie.
Deux actions majeures qui font la fierté de tous les Africains et de tous les hommes épris de paix, de justice et de bien être pour la communauté humaine.
Il urge donc de se mobiliser pour défendre l’honneur de l’Afrique.
Rien de moins ! Car si on laisse les racistes arriver à leurs fins, rien ne sera plus possible pour une contribution significative et décomplexée des Africains. Ces derniers avaient apporté de l’aide aux Haïtiens victimes d’un séisme. Ils avaient bien fait car nul n’a le monopole des bonnes actions et l’humanitaire n’est la propriété exclusive de qui que ce soit. Il en est de même de la recherche scientifique où l’Afrique s’est toujours illustrée et par ses savants locaux et par ses « cerveaux en fuite » en Occident.
Le 3ème Millénaire qui va faire renouer l’Afrique avec son destin fabuleux sera aussi celui de nouvelles conquêtes scientifiques exceptionnelles.
A ce nouveau rendez-vous avec la science, l’Afrique sera présente et avec fierté.
Grace à des actions comme celle initiée par le Président OBIANG en faveur de la recherche pour les sciences de la vie.
M. M. DIA
SOUAIBOU CISSE, Ambassadeur de la Fondation ORIFAN-AID
Arrière-petit fils de l’Almamy Samory Touré
« Je connais le président OBIANG NGUEMA MBASOGO depuis 1984. J’ai travaillé avec lui en tant que conseiller spécial.
A cette époque, la Guinée Equatoriale n’était pas encore un « Etat pétrolier]b », la situation était difficile. Mais le Président OBIANG NGUEMA MBASOGO est resté fidèle à ses idées panafricanistes et a toujours cherché à rassembler les peuples en cultivant la paix, la tolérance et le respect.
Il s’est toujours battu pour que le continent africain retrouve la place qui est la sienne dans le concert des nations.
C’est dans cette optique qu’il faut considérer le parrainage du « Prix International UNESCO-OBIANG NGUEMA MBASOGO pour la recherche en sciences de la vie». Ce Prix pose un acte pour la postérité ; si on peut dire, pour les futures générations d’Africains. Celles-ci apprécieront certainement cette contribution éminente qui honore tout notre continent. Nous refusons d’être d’éternels assistés et c’est pourquoi nous devons magnifier l’action généreuse du Président OBIANG NGUEMA MBASOGO.
Tous les Africains sont fiers de ce geste hautement symbolique qui doit être cité en exemple partout dans le monde car la science est l’une des choses essentielles que toute l’humanité a en partage ».

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